La relation que nous pouvons avoir avec l'art est souvent difficile à expliquer. Tenter d'exprimer avec exactitude ce que nous ressentons face à une oeuvre relève de la simple gageure.
Quant à juger cette dernière, il faudrait posséder une certaine étroitesse d'esprit pour vouloir se lancer dans pareille aventure ...
Quant à juger cette dernière, il faudrait posséder une certaine étroitesse d'esprit pour vouloir se lancer dans pareille aventure ...
Alors que l'on aime ou que l'on aime pas : on éprouve forcément quelque chose.
L'essentiel est d'ouvrir son esprit à ce que, consciemment ou inconsciemment, l'artiste à voulu faire passer au travers de l'adresse de ses mains.
Les vitraux c'est pour moi, comme la photographie, une certaine idée de la lumière, un jeu de cache-cache avec elle pour tenter de la maîtriser et de lui faire dire quelque chose. J'ai tenté d'en saisir certains reflets afin de vous les restituer sous formes de photos. De pâles copies de la réalité à vrai dire, de ce que l'oeil peut saisir et le cerveau en retenir. Le mieux est d'aller vous rendre compte par vous même du travail réalisé. Le 20 rue des Canches vaut le détour.
L'accueil a été chaleureux et sympathique. Certes, j'aurais voulu parler de son métier avec l'artiste, aborder certains sujets complètement axés sur son art, la voir travailler. Mais ce n'était pas le moment de l'accaparer tandis qu'elle accueillait d'autres visiteurs. Je lui ai promis de revenir.
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